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 Phoenix Esme Becker

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3 participants
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Phoenix E. Becker.

Phoenix E. Becker.


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Pseudo : mot-dit-net / Baker Street
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MessageSujet: Phoenix Esme Becker   Phoenix Esme Becker EmptyVen 27 Mar - 20:35

« EVERYONE WANTS TO KNOW THEY'RE NOT ALONE »


    Nom Complet ;; Phoenix Esme Becker
    Âge ;; 83 ans
    Date et Lieu de Naissance ;;le 15 août à Chicago
    Orientation Sexuelle ;; hétérosexuelle
    Métier (s'il y a lieu) ;; non. Cependant, il lui arrive de relever des défis ayant de l'argent en jeu.
    Alignement ;; Libéraux

« TONIGHT, OUT ON THE STREET, OUT IN THE MOONLIGHT »


    POST 1 ;; le jour de ma transformation.

    POST 2 ;; Le jour où j'ai goûté au tru blood.

« I FOUND THE ONE I'LL SPEND FOREVER WITH »
C'était une journée comme les autres. Couchée tard le soir, à flâner dans les rues, je me réveillais avec un mal de tête qui se dissiperais très vite. Je le savais, je savais qu'aujourd'hui je tenterais une folie, je savais que j'allais une fois de plus me faire remarquer, je le savais. Toutes ces choses effrayantes qui m'arrivaient faisaient parties de ma routine. Et pourtant, j'en voulais plus, toujours plus. Après mon habituelle douche froide, je m'attablai devant un petit déjeuner normal. évidemment, je ne pus m'empêcher de mélanger pleins de trucs, rajoutant de l'eau dans mon chocolat, et je finis par avaler un truc complètement ragoutant. Ensuite, je me dirigeai rapidement vers les toilettes pour rendre avec dégoût tout ce que je venais d'avaler, et, comme tous les jours je me dis que je ne recommencerais plus, alors que je sais que demain, je recommencerais. Parce que rien ne m'avais dit d'arrêter, je pouvais toujours faire pire. J'étais passée par la drogue, par l'alcool aussi, j'avais réussis arrêter. Les gens de mon entourage me disaient folle. La plupart avait essayé de me raisonner, me suppliant, pleurant pour que je calme, parce que je pourrais a tout moment mourir. La vérité, c'est que j'étais malade. Une maladie inguérissable, une folie douce qui me mènerait a ma perte. Mais comment dire à tous ces gens que c'était ma réalitée, que je ne vivais que de ça et que pour ça ? Comment leur dire que dans cet instabilité je trouvais un équilibre, que, aussi fragile soit-il, je ne voudrait renverser en aucun cas ? Je savais qui j'étais. Ce que je voulais. Et ce que je voulais, je ne l'obtiendrais jamais. Jamais je ne me dirais : "C'est bon, c'est fini. Cette fois, j'ai trouvé ce que je voulais, j'arrête." Pendant un jour, une semaine, voir un mois, oui, peut-être. Mais il y aura toujours quelque chose, en moi qui me poussera a faire plus.
Ce jour-là, donc, je me rendais a mon travail, comme tous les jours. J'avais souvent été renvoyée, et j'avais charmé le patron pour y entrer, je devais l'avouer. Malheureusement, dans cette société, l'argent est roi et malgré mes folies, j'étais honnêtes et ne voulais pas voler. Mon travail se déroula plutôt calmement, jusqu'à ce que mon ventre crie famine, et que la faim me dévore le ventre, lentement. Je restai a jeun pendant deux heures, pour voir jusqu'à où je pouvais attendre, et puis, par paresse, par manque de temps, je finis par avaler un sandwiche, avant de retourner travailler. Ma tâche était simple : répondre aux appels, noter des rendez-vous, faire des sourires au patron pour qu'il croit qu'il me plaise. et le soir, aller le voir. Non pas qu'il ne soit pas très séduisant, non. Juste un peu trop vieux pour moi. Mais, je ne voulais pas de lui. Alors, je m'amusais a lui faire monter le désir, jusqu'à ce que ses yeux brillent, sa bouche soit sèche a force d'avoir répété mon prénom, son corps nu tandis que je me tiens devant lui, faussement désireuse. Ensuite, je m'échappe. Soit juste en riant, comme ça, en lui disant à demain d'un air charmeur, ou en prétendant une faiblesse quelconque. Ce petit jeu dure depuis deux mois. Mais aujourd'hui, je ne veux pas. Alors, je vais m'inventer un rendez-vous chez le dentiste, pour pouvoir me blottir dans les bras d'une personne de mon âge environ, pour pouvoir connaitre les flammes du désir et de la passion sans une once de dégoût. Ce soir, je suis de sortie. Et ce soir, je ferais ce que je voudrais. Non, ma dernière phrase n'a aucun sens. Je fais toujours ce que je veux, c'est dans ma nature. Dans ma façon d'être.
Du coup, le travail me semble encore plus long et plus ennuyeux, et, pour faire passer le temps, je m'amuse a attiser un jeune stagiaire, qui fantasme sûrement sur les secrétaires sexy, etc, etc...Pathétique, quoi. Mes pensées vont paraîtrons sûrement bien sombres et guère semblables a ma façon de me décrire. Pourtant, je vous l'assure, j'aime la vie. Je m'y amuse tant... A cet instant, j'étais tellement loin d'imaginer que je vivrais tout une vie sans limites, et qu'a 80 ans encore, je semblerais avoir moins de trente ans. C'est ainsi que je me considère, moi. Pas comme un monstre. Je suis plutôt optimiste, toujours a voir le côté vide du verre, et le côté attirant de la substance qu'il contient. Donc, ce soir là, je l'attendais avec impatience, comme chaque minute de chaque jour.
Quand six heures arriva, je ne pus retenir un soupir de soulagement. Mon patron, me demandant ce qui me laissait rêveuse ainsi avec un air taquin, s’imaginait sans doute que c’était de lui que je rêvais. Je lui souris en coin, comme le ferais toute personne semblant un minimum désolée. Je lui dis que je n’étais pas rêveuse, au contraire, le médecin m’attendait pour étudier mes dents unes à unes et pouvoir voir si ma mâchoire fonctionnait bien. Avec l’impression d’être un lèche-cul finie, -sans vouloir créer de double sens a cette expression- je lui dis que je n’avais vraiment pas le temps d’y aller, oh ! Non, alors ! Ça m’ennuyait tant de ne pas pouvoir faire autre chose, a la place. Je lui expliquai, tout en restant professionnelle, car a cette heure-là, des gens traînaient encore, que j’en aurais pour tout le soir ; il risquerait de me mettre du produit anesthésiant dans la bouche qui m’assommerais totalement jusqu’à demain matin, et qu’en fille bien sage, je rentrerais chez moi directement. Il parut déçu, très déçu, et un cri de joie me monta dans la gorge, que je retins assez facilement. La soirée était à moi. Le soir, j’enfilai une robe, mis des hauts talons, me maquillai légèrement, brisant totalement l’image saine d’une gentille secrétaire, d’une femme bien calme et bien nette que je n’étais pas. J’entrais dans la boîte de nuit sans problème, on ne me demanda même pas mes papiers. J’enchaînais bars, danses et défis lancés à la ronde. Beaucoup de gens me regardaient, mais, surtout, il y avait lui. Sans doute le garçon le plus mignon de la boîte. Sa peau semblait blanche, dan l’obscurité, ses yeux d’un marron-doré me fixait avec une délicieuse intensité, tout en lui incitait à me livrer complètement, a frémir de plaisir et de passion contre son corps, a se sentir transpirer, encore et encore, rien que pour lui. On m’apprit qu’il ne couchait pas ou presque pas, ce qui me le rendit encore plus attirant. Apparemment, il s’intéressait à moi, et j’allais peut-être être une exception. Je continuais d’attirer l’attention, lui jetant des regards de braise, lui souriant avec des airs de défis. Je ne cessais d’attirer l’attention sur moi, pour qu’il voie que s’il me refusait, je me soignerais avec d’autres. Sans me toucher, il attisait en moi le désir, le plaisir, d’une intensité que je n’avais jamais connue. Enfin, il s’approcha de moi, doucement, très doucement, et se mit à danser contre mon corps, avec une justesse et une adresse incroyable. Je fus surprise en frôlant sa peau de découvrir qu’elle était glacée. Tellement froide, tellement dure qu’on aurait dit du marbre. L’envie de sculpter quelque chose dans ce corps, de graver une trace a tout jamais s’incrusta très rapidement dans mon esprit. Et puis, lentement, il me prit la main ; et, lentement, il me dirigea vers la sortie. J’étais contente : dans mon esprit, je venais de remporter un défi, un défi de taille. Je me sentais reine, sentant la jalousie des filles dans mon dos, sentant le désir des hommes frôler ma peau… Tout ça ne faisait rien qu’attiser mon désir, et cet homme, ce soir je l’aurais. Je l’aurais, oui, c’est ce que je me disais, à l’époque, et j’en étais sûre…d’une certitude incroyable, inpensablement juste et innocente. Il me dirigea vers les ruelles plus sombres, et pas pour autant malfamées. En pleine rue, bien que déserte…Mes hormones travaillaient plus que jamais, il ne lui faudrait pas beaucoup de temps pour qu’un gémissement de plaisir jaillisse de ma bouche, qu’un de ses baisers embrase mon corps et je m’abandonne à lui tout entière. A cet instant, mon patron avait l’air d’une poubelle, et rien d’attirant dans cet homme sans importance. A cet instant, il n’y avait que lui, mon meilleur coup du monde. Alors que rien n’était joué. Frôlant sensuellement sa nuque de mes lèvres, je ne tardais pas à l’embrasser. Un frisson sur sa peau me fit penser qu’il était à bout, lui aussi. Je me trompais. Il me repoussa doucement, alors que, minuscule à côté de lui, j’étais fiévreuse de désir.
-Tu aimes les défis, n’est-ce pas ?
Je souris. Il voulait jouer à ça ? Il allait perdre. Comme toujours. Je ne perdais que très rarement. J’acquiesçai, souriant d’un air aguicheur, avec une moue craquante. Qui n’aimait pas les défis, lui demandai-je ? Il rit, un rire magnifique, et son rire me raisonna dans le ventre, dans la poitrine, dans la tête… Je pris conscience de l’état dans lequel j’étais, et je commençai à douter de mes chances de réussite. Il fallait que je me reprenne, sinon je perdrais dès la première approche.
-Tu voudrais… servir de cobaye ?
-De cobaye, pour quoi ?
-Oui ou non ?
-Bien sûr que oui.
Il s’approcha de moi, avec une lenteur infinie, qui dura des minutes, et je restais là, à le contempler, quand il rouvrit de nouveau la bouche.
-Je suis sans cœur, mais je pense que tu trouveras une entière satisfaction là-dedans, je t’ai bien observée, tu sais… Tu ne souffriras pas beaucoup…
Aucunes de ses paroles ne m’affolèrent. Je le regardais s’approcher, lentement, retenant mon envie d’anticiper le tout. Il était maître de la situation, et me soumettre ne me dérangeais pas le moins du monde. Je n’étais pas une « girls power », et tant que c’était un défi, j’acceptais tout. Je me retins de crier mon désir lorsque, doucement, ses lèvres se posèrent sur mon cou. La douleur, légère, quand je ressentis a mon cou ne fit que raffermir mon désir, et je ne compris pas ce qu’il m’arrivait. Je l’entendis déglutir, et je me sentis faible. Ensuite, un feu nouveau m’enveloppa, ardent, brutal, mauvais. J’avais mal. Je me rendis compte qu’il ne respirait plus, et il se recula vite, trop vite. Sur les lèvres, sur ses dents, aucunes gouttes de mon sang. Pourtant, en portant la main a mon cou, je sentis deux petites entailles, très fines, très discrètes, sûrement invisibles. Je m’occuperais de toi, lis-je sur ses lèvres, avant de sombrer dans l’inconscience.



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    Groupe ;; tru blood
    Code ;; Ok by Will'
    Célébrité ;; Coco Rocha
    Post Vacant? ;;oui =)
    Niveau rp ;; euh... Je ne me jugerait pas, il me faudrait quelque chose a quoi me comparer.
    Commentaires? ;; TROOOOOOOOP BIEN !!!!
    Présence sur 7 ;;5/7


Dernière édition par Phoenix E. Becker. le Mar 31 Mar - 19:20, édité 2 fois
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William Lakeshore
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MessageSujet: Re: Phoenix Esme Becker   Phoenix Esme Becker EmptyVen 27 Mar - 22:51

Salut & bienvenue sur True Blood ! =)
Bonne continuation pour ta fiche ; si besoin est j'éffacerais mon post. Wink
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Aidan G. Williams
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    mieux vaut régner en enfer que de servir au ciel. »
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MessageSujet: Re: Phoenix Esme Becker   Phoenix Esme Becker EmptyDim 29 Mar - 21:36

MDN!
Bienvenue sur True Blood chouette, bonne chance avec ta fiche! Wink
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Phoenix E. Becker.

Phoenix E. Becker.


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MessageSujet: Re: Phoenix Esme Becker   Phoenix Esme Becker EmptyMar 31 Mar - 19:21

« I FOUND THE ONE I'LL SPEND FOREVER WITH »[/center]
Le Tru blood. Par sa définition, c’est une sang synthétique, qui a le goût du sang, mais pas l’odeur. Donc, on ne devient pas incontrôlable lorsqu’on en boit. Trop fort, j’ai pensé. Et puis, ça m’a fait un peu bizarre, un peu peur. Depuis ma transformation, j’errais, tuant des animaux a faute d’humains, attirant les humains dans un piège mortel, me nourrissant de n’importe quel sang. Ensuite, je dispersais les corps, m’amusait parfois par cruauté avec, ou, piteuse et désolée, je m’enfuyais rapidement. La soif faisait partie de mon existence, il m’arrivait bien sûr de ne pas être obligée de m’arrêter pour chasser. J’étais un prédateur, comme j’avais été une proie. Quelques fois, je comprenais les envies de mon créateur, mais je ne cédais pas a la tentation. Surtout pas ! Je devais me contrôler, ne pas faire souffrir, et, bien souvent, je tuais mes proies avant de les vider. Je n’avais jamais eu très faim, et parfois, souvent, même, je me forçais a manger de la nourriture humaine, mangeant avec dégoût ce qu’autrefois avait été mon plat préféré. La goût d’habitude si prononcé semblait fade, la texture trop raide, et pourtant trop molle, ce n’était pas bon. Pire encore, ça ne me nourrissait pas. J’étais condamnée a boire du sang, et plus ça allait, plus la pensée m’écœurait.
Donc, quand j’ai appris l’existence du Tru Blood, d’abord, je n’y ai pas cru. C’était tout simplement inimaginable. Comment une boisson pouvait-elle avoir le goût du sang, puisque que tout ce que mangeaient les humains avaient un goût fade, inapetissant, repoussant ? Les fumets s’en échappant étaient parfois alléchants, pourtant. Alors, comment une boisson synthétique pouvait-elle avoir le goût du sang, sans l’odeur ? Parce que, s’il c’était en distribution dans les bars, c’était bien parce que c’était inoffensif. Comment diable les humains avaient-ils pu s’allier avec des vampires pour les accepter au point de les aider, alors qu’ils savent très bien qu’on vidait des centaines des leurs par jour, nous tous réunit, pour se nourrir ? Ne voyaient-ils donc pas la dangerosité de leurs actes ?
N’allez pas croire par là que ma philosophie avait changée. J’aimais toujours autant les défis, et c’est sans aucun doute pour ça que j’ai testé et adopté le Tru Blood. Un défi a longue date. Si aujourd’hui, quelqu’un me défiait pour arrêter cette boisson, je le ferais, je le sais. Je me rappelle de cette journée, je m’étais aventurée dans la ville, cette fois, et j’étais entrée, beaucoup trop lentement par rapport a ma vitesse normale, dans un bar. Je me sentais idiote, sur le seuil. Toutes les personnes me regardaient, certaines avec intérêt d’autres, avec un air méfiant, inquiet. Ils ne savaient pas si j’était une vampire. J’en conclu que si on était beau et qu’on entrait dans un bar, ou tout simplement marchait dans la rue, désormais on pouvait se faire prendre pour un vampire. Du haut de mes 83 ans, je n’avais jamais connu ça. Avec mon physique de 20 ans, évidemment, on ne pouvait pas savoir. Je suis assise à une table, attendant que le serveur arrive, et j’ai observé la carte des boissons. Le Tru Blood était noté, parmi toute les autres boissons, mais c’était marqué comme boisson exclusivement réservée aux vampires. L’odeur de tous les humains me chatouillaient la gorge, mais j’avais appris a contrôler cette impression depuis longtemps, et je m’inquiétais pour ça, juste au cas où je ne saurais me retenir.
« Je voudrais du Tru Blood, s’il vous plaît. »
J’avais dis ma phrase avec le plus de naturel possible. Bien évidemment, intérieurement, j’étais morte de peur. Oui, vous allez bien lu. Moi, la reine des défis, avait peur d’une simple boisson. J’avais peur pour eux, en fait. Et si je perdais le contrôle ? Les questions résonnaient dans ma tête, ricochant sur les côté. Avec un suprême effort de volonté, je me repris, et arrêtait de respirer. Un couple de personnes, qui ne m’avaient pas lâchés du regard depuis mon entre, s’arracha enfin a mon image, se concertèrent des yeux, puis, d’un brusque mouvement, s’enfuirent en courant. D’autres gens s’en allèrent. Je jetai un coup d’œil au serveur, derrière le bar, qui leva les yeux au ciel avec un soupir désemparé. Il n’avait pas peur. Pas le moins du monde. Alors, j’en conclu que la boisson était bel et bien efficace. Et ma peur laissa place a l’excitation, a la curiosité, a l’envie.
Un verre me fut apporté. Je le détaillais avec curiosité, notant la couleur, l’odeur, et ma pleine contenance. Ça paraissait tellement inoffensif. J’approchais le verre de mes lèvres, et je me rendis compte qu’avec l’excitation, mon verre tremblait. Un sourire ébahit s’afficha sur mes lèvres lorsque le liquide arriva dans ma bouche, coula dans ma gorge et m’apaisa l’estomac. J’avais l’impression d’être dans un de ces rêves où j’ai des remords en pensant aux personnes que j’ai tuées et que je m’imagine humaine. Rêve est bien entendu une façon de parler, pourtant il m’arrive de vouloir redevenir humaine ; alors je m’allonge au sol, je ferme les yeux, comme si je dormais, et je laisse mon esprit divaguer, cherchant le sommeil, qui ne viendra pas. J’étais fascinée par cette boisson, et je l’adoptais immédiatemment.


Bon, ce RP fait pâle figure par rapport à l'autre, je peux rajouter des choses, ensuite, si vous voulez. Sinon, je pense avoir fini =)
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William Lakeshore
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MessageSujet: Re: Phoenix Esme Becker   Phoenix Esme Becker EmptyMar 31 Mar - 21:17

Je vais lire ca et je te dis quoi ! ^^
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MessageSujet: Re: Phoenix Esme Becker   Phoenix Esme Becker EmptyMar 31 Mar - 21:29

Bon D.B sorry ! je peux me le permettre ... ^^
Je suis ok ! Smile
Tu es donc validée mademoiselle !
Très bon Rp ; tu n'es pas obligé de dévelloper d'avantage ton 2ème RP mais si tu le faisais, ce serait pas mal du tout ! =)
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